Son ton était si imperturbable que personne ne pouvait dire comment le maharajah avait pris la nouvelle de la mort du docteur quand son interprète lui avait raconter les faits.
Par contre qu'en on lui annonça qu'il allait être interroger par il ne savait quel inspecteur (dont il avait très vite oublier le nom), ses joues s'étaient légèrement empourpé d'indignation.
Il s'était cloîtré dans sa suite où les serviteurs qu'il avait emmené avec lui se pliait en quatre pour le dérider en le traîtant avec tout le soin qu'il fallait.
Intazâr se laissait faire avec la mine d'un gamin boudeur acceptant un cadeau sans renoncé à se montrer raisonnable.
C'était çà ou prendre son sabre et alla provoquer l'inspecteur en duel. Mais Bhuti lui avait rappeler qu'il ne pouvait provoquer en duel quelqu'un qui parlait à travers une radio.
Très bien ! a la guerre comme à la guerre, il ne participerait pas à cette désagréable comédie d'interrogatoire et compagnie.